Les propriétaires de chien(s) sont tenus d’inscrire dans les 15 jours, au Greffe municipal :

1.      les chiens achetés ou reçus, 

2.      les chiens nés et restés en leur possession,

3.      les chiens abattus, vendus ou donnés,

4.      tous les chiens qui ne seraient pas encore annoncés.


       Copie du passeport du chien à joindre au formulaire à compléter.

Nouvelle loi sur l'énergie

Vers le site 

Adossé à la douce pente qui monte depuis la Venoge, en direction du Jorat, à l’extrémité nord-est de l'ancien district de Cossonay, Bettens, par sa situation géographique qui n’est du reste pas unique, appartient à deux bassins versants; en effet, ses eaux se séparent et s’écoulent vers le Rhône par la Venoge et vers le Rhin par le Talent.

Au sud de la localité, les sources de la Molombaz ont été captées en 1906 pour alimenter Daillens, Penthalaz et Bussigny. Une partie de cette eau est pompée et injectée dans le réseau de distribution d'eau du village.

Il existait à Bettens une famille féodale de ce nom qui possédait une propriété importante. Elle remonte à Richard de Bettens qui vivait vers l’an 1100. Le drapeau communal porte les armes de cette famille. L’étymologie de Bettens ne pose pas de problème : le nom vient de deux mots allemands, il signifie Maison de prière.

Bettens offre un privilège à ses habitants : être sans souci face à l’au-delà ; le cimetière ne se situe-t-il pas au lieu-dit « Le Paradis » ? C’est sans nul doute ce qu’avait compris un notable vivant au XIX siècle; sa pierre tombale, encastrée dans le mur du cimetière, porte l’inscription suivante ; « Ici repose Charles-Emile Constant Fornerod, ancien Conseiller fédéral, 1819-1899 ».

Toute modestie mise à part, il est incontestable que Bettens aura été la première commune du district Cossonay selon l’ordre alphabétique, bien entendu. Cette situation ne l'a pas empêchée de flirter sans vergogne avec Echallens, mais de regarder tout de même son ancien chef-lieu bien en face. Le pont qui enjamberait le vallon de la Venoge pour nous relier à lui, ne serait-il pas parfaitement horizontal ?

Selon le livre « les villages vaudois », les habitants de Bettens sont surnommés « Les grands-Pantets ». C’est en effet pour avoir continué à porter longtemps après les citoyens des autres communes les habits à longues basques qu’ils ont été affublés de ce sobriquet par des voisins railleurs.

* Ce texte est disponible sous les termes de la licence de la documentation libre GNU (GFDL) *

 Administration communale Chemin Neuf 1, 1042 Bettens Tél. 021 882.54.50
Greffe municipal et contrôle des habitants :Mardi : 17h.15 - 19h.15 Jeudi : 08h.45 - 10h.45 ou sur rendez-vouscommune.bettens@bluewin.ch    

Bourse communalesur rendez-vousTél.  021 882.54.50boursier.bettens@bluewin.ch
Pour toutes urgences ou questions, vous pouvez contacter la Municipalité.